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Dans le village d'Auzon existe une maison appelée "Maison du Bailli"

Le Bailli était une personnalité désignée par le roi avec de multiples fonctions dont celui de justice et centralisation des recettes(Impôts) voir en fin d'article pour plus amples détails.

Nous allons évoquer cette maison au travers de l'histoire d'une Auzonnaise devenue propriétaire des lieux.

Laure Doniol propriètaire du bâtiment nous raconte

 

La maison du Bailly

C’est en 1999, lors de la préparation de mon Travail Personnel de Fin d’Études menant au diplôme d’architecte que je suis tombée véritablement amoureuse de cette bâtisse. Je travaillais alors sur les villages « Bruts de patrimoine », et, lors des campagnes de relevés nécessaires à la réalisation de la maquette de ma soutenance de diplôme, je m’étais dit que si, un jour, j’achetais une maison à Auzon, ce ne pourrait être que celle-là. Je n’avais pas encore 25 ans, pas encore d’emploi fixe : un projet inaccessible !

Et pourtant, mon rêve est devenu réalité… curieusement à cause de la tempête de décembre 1999 ! Beaucoup de maisons avaient souffert des fortes intempéries et, parmi elles, la maison du Bailly. La propriétaire de l’époque, Madame Souchal-Ancelin, très âgée et résidant sur la côte d’Azur, a alors pris contact par téléphone avec la commune car elle ne savait pas à qui s’adresser pour effectuer les travaux les plus urgents, confiant au secrétariat, que vu son âge et son éloignement, elle ne pouvait plus s’occuper de ses biens auzonnais et qu’elle souhaitait tous les vendre. Mon père, alors maire d’Auzon, n’a pas manqué de me rapporter ces informations et m’a mis en relation avec M. Pradon, un cousin de Madame Souchal, qui m’a ouvert la porte du Bailly pour la première fois. L’intérieur était au-delà de tout ce que j’espérais : le bâtiment était resté quasiment dans son état initial !

Nous étions apparemment plusieurs à convoiter cette maison, mais Madame Souchal a avoué m’avoir donné la préférence au regard de ma jeunesse et de ma volonté de restaurer l’édifice dans le respect des techniques anciennes.

En 2001, je devins donc l’heureuse propriétaire du « Bailly » : Il n’y avait plus qu’à relever nos manches et se mettre au travail ! Benjamin, mon compagnon également architecte, et moi étions plein d’enthousiasme à l’idée de redonner vie à ce bâtiment de près de 6 siècles. Beaucoup de choses à trier et débarrasser dans un premier temps, sans compter les dizaines d’années de squattage par les pigeons.

En aout 2005, nous avons choisi de passer nos vacances au Bailly. Confort très spartiate, colocation avec une belette, un hibou et une dizaine de chauve-souris, mais que de bons moments ! L’occasion pour nous de procéder aux premiers relevés, d’effectuer les premiers travaux de conservation, de mettre à profit ma formation tout juste achevée à l’école de Chaillot. Je me souviendrai toujours de l’air étonné des voisins qui, venus le premier matin au pied de la maison chercher leur pain à la tournée de la boulangère, ont découvert, en levant la tête au grincement des volets, que le bâtiment était à nouveau habité !

Ensuite le temps s’est accéléré, entre nos vies professionnelles, l’arrivée d’Eloy puis d’Aubin nos 2 garçons, et la création du cabinet LDBS. Le Bailly n’était plus la priorité même s’il occupait toujours une grande partie de nos pensées.

Le bâtiment éventré menace alors ruine. Le risque d’effondrement de la construction sur elle-même est grand. Un périmètre de protection est installé en périphérie pour éviter aux passants les chutes de matériaux. Mais tout est complexe : de la nécessité de bâcher la toiture avec une charpente défaillante jusqu’à l’imbrication des maçonneries et de la toiture séparant notre bâtiment de celui du voisin, sans oublier le risque de voir le reste du pigeonnier s’écrouler à son tour. Quelques personnes bien intentionnées avaient alors pour ce « tas de pierres » des projets plus radicaux comme le raser pour en faire des places de stationnement… Mais nous n’avons rien lâché !

Les entrepreneurs faisaient souvent demi-tour devant l’ampleur, la complexité et la dangerosité de la tâche.

Après pas mal de nuits blanches à chercher des solutions techniques mais aussi financières, nous avons heureusement fini par trouver 2 entreprises de La Chaise-Dieu qui nous ont aidé à véritablement sauver le Bailly : la SARL Desorme-Bellanca / Maçonnerie et taille de Pierre et Les Charpentiers Casadéens / Charpente & Couverture.

En mai 2014, permis de construire et prêts obtenus, le chantier des travaux de maçonnerie, charpente et couverture labellisés « fondation du Patrimoine » commençaient enfin. Les compagnons ont restitué les parties ruinées de la tour, purgé et conforté les maçonneries, installé une charpente et des planchers neufs adaptés aux usages futurs tout en mettant en œuvre les savoir-faire anciens.

La suite du chantier sera immanquablement de longue haleine et s’étalera encore certainement sur les décennies à venir mais peu importe : le bâtiment, hors d’eau, est maintenant pérenne.

 

Pour la petite histoire depuis de longues dates il ya des Doniol à Auzon mais rien à voir avec les propriètaires actuels

DONIOL. — Ancienne famille de la ville d’Auzon,connue depuis Antoine Doniol vivant en 1567, fils de Claude Doniol, ayant agi lui-même comme héritier de feu Pierre Doniol, père dudit Claude. Guillaume Doniol, cons. du roi, I er président de l’élection de Brioude, mourut dans cette ville le 20 août 1661. Il fut enterré à Blesle, en l’église Saint-Pierre, lieu de sépulture de sa famille. Messire Jean Doniol, prêtre et curé de la Chapelle-Alagnon, mourut le 4 sept. 1677. Antoine Doniol, bourgeois d’Auzon au xvm e siècle, ép. Marie- Anne Maritel d’où : Jean-Henri Doniol, not. roy. à Auzon, mar. le 26 août 1783, à Françoise Jury, fille de Claude, avocat au Pari., bailli de Rillac et de la prévôté royale d’Auzon et de Catherine Gellet de la Deyte, d’où ; Claude Doniol, né à Auzon en 1791, f à Clermont en 1877, agronome distingué, président du Comice agricole de Brioude, vice-président de la Société d’agriculture du Puy-de-Dôme, mar. en 1817 à Rosalie-Constance de Murat, fille de François de Murat de Fontenille, officier dans les gens d’armes d’Artois. Après avoir exercé comme avoué à la cour de Riom, il se livra à l’agriculture, d’abord à Rillac, puis à partir de 1840, à Barlières. Il se signala par ses essais et son initiative et fut un véritable bienfaiteur pour les populations agricoles de la commune de Bournoncle-Saint- Pierre, et des communes environnantes, où il introduisit la culture des prairies artificielles, celle du trèfle et du sainfoin ainsi que la culture des betteraves. Après avoir vendu le domaine de Barlières, il se retira à Clermont où il est mort. Il a traité avec compétence les questions agricoles dans de nombreux articles parus dans le journal Y Agriculture, de Barrai, à Paris. De son mariage avec M IJe de Murat il eut un fils qui suit. Jean-Antoine-Henri Doniol, né à Riom (Puy-de-Dôme), le 20 avril 1818, ancien préfet, ancien directeur de l'imprimerie nationale, membre de l’Institut, commandeur de la Lég. d’hon. et de divers ordres; officier de l’Instruction publique. Avocat à Riom en 1842, conseiller de préfecture du Puy-de-Dôme (1848), sous- préfet de Florac, de Villeneuve-sur-Lot (1849), commissaire et membre du jury de concours régionaux agricoles (1860-1869), inspecteur-adjoint de l’agriculture (1869), préfet de l’Isère (1871), de la Loire-Inférieure (1872), préfet de Meurthe-et-Moselle (1873), des Bouches-du-Rhône (1876), des Alpes-Maritimes (1877), de la Gironde (1879), directeur de l’Imprimerie nationale (1882), membre de l’Académie des sciences morales et politiques ( 1890), membre correspondant de la Société historique de New-York (1892), M.Doniol a collaboré à beaucoup de revues ou journaux littéraires, historiques et scientifiques. A ép. à Clermont en 1846 Louise Maizière, fille du général Maizière, grand officier de la Lég. d’hon., etc., secrétaire général de la Grande Chancellerie de la Lé£. d’hon. et de M ll ° Vial, fille du lieutenant général, baron Vial, qui commandait une division de cuirassiers à la bataille de Waterloo. Il a publié : Description pittoresque de la Basse-Auvergne (1847, ouvrage formant la première moitié du tome ni de /’Ancienne Auvergne et le Velay).

L’institution des baillis et sénéchaux

Au Moyen Âge et sous l'Ancien Régime, agent du roi de France placé à la tête d'un bailliage.

Afin d'affaiblir le pouvoir de la féodalité, le roi de France comprit l'insuffisance de ses agents domaniaux traditionnels, les prévôts. S'inspirant des Plantagenêts, il institua alors, pour contrôler l'administration prévôtale, des commissaires royaux appelés « baillis » (« sénéchaux » dans le Midi). La première mention des baillis apparaît en 1190. À l'origine, ils furent choisis parmi les membres de la Curia regis et chargés, en tant que commissaires extraordinaires, d'aller deux par deux en tournée d'inspection. Puis leur fonction s'institutionnalisa et se sédentarisa : vers 1230, ils reçurent des circonscriptions fixes, appelées « bailliages », et, vers 1260, ils furent astreints à résidence fixe et soumis à une réglementation rigoureuse (interdiction d'acheter des biens et de prendre femme dans le bailliage).

Nommés par le roi, révocables et amovibles, le plus souvent recrutés dans la petite noblesse, les baillis étaient investis de très larges pouvoirs : ils contrôlaient les prévôts, centralisaient les recettes, convoquaient et commandaient le ban et l'arrière-ban, gardaient les forteresses royales. Enfin, ils exerçaient la justice au nom du roi, par la tenue d'assises en divers lieux de leur circonscription. C'est en particulier comme juges d'appel des juridictions prévôtales et seigneuriales que les baillis furent les artisans de l'essor de la souveraineté royale.

L'institution, cependant, s'altéra. À partir du xive s., l'administration se perfectionnant, les baillis perdirent leur compétence financière au profit des receveurs. Au plan judiciaire, ils eurent trop souvent recours à des suppléants nommés par eux, les lieutenants. D'abord interdite, l'institution des lieutenants (civil, criminel) fut généralisée à la fin du xve s. Les baillis furent peu à peu contraints de leur déléguer leur pouvoir judiciaire, de même qu'ils perdirent leurs fonctions militaires au profit des gouverneurs. Devenu office inamovible (fin du xve s.), puis vénal (xvie s.) et finalement purement honorifique, le bailliage survécut néanmoins jusqu'à la Révolution.

Ils en parlaient

Claude GRELLET Sr DU BESSIOUX, DE CHADUZIAS et co-seigneur DE VARENNES, IIe du nom, premier consul d'Allègre en 1769, né le 8 mai 1735, épousa, à Auzon, le 12 février 1770, Catherine JURIE, fille de Claude Jurie, Sr de Vergongheon, bailli de la Ville et Prévoté Royale d'Auzon et de Catherine Grellet de la Deyte (3). Intervient au contrat Barthélemy Grellet seigneur de la baronnie de la Deyte et autres places, conseiller du Roi, président de l'élection d'Issoire, oncle des mariés, auxquels il fait une donation en considération dudit mariage. (Parmi les signatures des assistants on remarque les noms suivants : Brassac, de Pons, d'Apchier, d'Oradour, qui appartenaient aux familles les plus qualifiées de la Province.)

Notre Antoine Du Prat le connaîtra chancelier de France en 1426. Des deux fils de Jean Gouge, l'un Guillaume, maître d'hôtel du roi, était évêque de Poitiers en 14*10 ; le second, Martin, fut père d'un second Jean, qui, après avoir débuté comme archidiacre de Saint-Flour, devint conseiller au Parlement de Paris. Les deux filles de Jean Gouge, le chef de la famille, s'allièrent à deux des plus illustres 'races de la province ; Jeanne Gouge, dame de Saint-Hérem en devenant la femme de Jacques de Montmorin, seigneur d'Auzon, bailli royal de St- Pierre-le-Moûtier, et, à ce titre, bailli des Exempts de Haute et Basse-Auvergne (1401) : Marguerite, en épousant la même année, Jean de Langeac, seigneur de Langeac et de Brassac, sénéchal d'Auvergne, puis de Beaucaire. Et voilà comme quoi la finance et La capacité, portaient, aux sommets de la société, des familles presque toutes sorties de l'échoppe, comme Antoine du Prat.

En sa qualité de changeur et de marchand d'argent, Antoine était tout désigné pour traiter, au nom de la commune, les marchés de métaux ; aussi s'en rapporte-t-elle complètement à lui, lorsque, en 1397. elle décida de remplacer les cloches rompues de la cathédrale, par cinq nouvelles, dont quatre pour le service divin et une pour l'horloge municipale, qui fut placée provisoirement dans un clocher de bois sur la Grand Place. Les frères Jean et Durand Rochayron, fondeurs de Marvejols, en grande réputation dans cette partie de la France, furent chargés de l'opération. Antoine Du Prat se rendit donc au Puy avec Jean Rochayron et y choisit le cuivre, l'étain ordinaire, l'étain fin de Cornouailles, le bronze, chez le marchand Pierre Bouteyre : 46 quintaux, 54

livres pour les quatre cloches de la cathédrale, 21 quintaux pour celle de l'horloge, à 8 sous tournois le quintal. Puis, il parcourut, dans la Margeride, les bois de Montsuc, propriété du seigneur de Taillac, et, à Montchamp, ceux de diverses personnes, y choisit les plus beaux arbres pour construire les clochers provisoires. Les Rochayron se rendirent alors à St-Flour et on fondit les cloches sur la place de la cathédrale (1)

Cette famille est originaire d'Auzon (Haute-Loire) (1).

I. Jean Boyer, bourgeois d'Usson, mort en 1630, épousa Catherine Bergier, dont :

A. Pierre, qui suit.

B. Jean, bourgeois, auteur de la branche d'Auzon.

C. Ysabeau, femme de Julien d'Albine, juge d'Auzon.

II Pierre Boyer, sieur de Saunat (2), bailli d'Auzon, conseiller secrétaire du Roi : procureur à la Sénéchaussée de Riom, receveur des épices et secrétaire de la chambre de Messieurs du Présidial, épousa Jeanne Milanges, fille de Jacques, bailli d'Ennezat et de Marguerite Varennes, dont il eût :

A. Jacques, qui suit.

B. Jean, sieur d'Oremuse.

C. Pierre-Julien, sieur de Pagnat.

D. Hector, baptisé à Riom, le 25 octobre 1655.

(1) Presque tous les renseignements que nous donnons sur cette famille, sont dûs à l'obligeante érudition de M. Calemard, conseiller à la cour de Riom.

(2) Saunat : fief situé dans la commune de Cellule, canton de Riom (Puyde-Dôme).

 

III. Jacques Boyer, écuyer, sieur de Saunat, lieutenant-particulier criminel, assesseur civil à la Sénéchaussée d'Auvergne, marié avec Anne du Floquet de Chaméane, fille à Blaise, dont :

Marie-Amable Boyer de Chaméane, mariée le 6 décembre 1688 avec Thomas de Chabannes-Pionsat.

II. B. Jean Boyer, bourgeois d'Auzon, second fils de Jean et d'Antoinette Bergier eut pour enfants :

A. Pierre, avocat en parlement.

B. Antoine, qui suit.

C. Maurice, chanoine d'Auzon.

D. Joseph.

E. Jean.

F. Une fille, mariée à Antoine Boyer.

III. B. Antoine Boyer, avocat en parlement, assesseur en l'élection d'Issoire en 1692, puis bailli d'Auzon, épousa Angélique Jaffeux, de Pont-du-Château, dont il eut :

A. Charles-Joseph, qui suit.

B. N..., épouse de Pierre du Lac.

C. N..., épouse de Marc de Tuelle.

D. N..., épouse de N , Cellin.

Son père Jean Roux, avocat au parlement, était le fils d'un procureur d'Auzon, petit bourg situé entre Brioude et Saint-Germain, d'abord lieutenant de justice puis bailli d'Auzon, ce Jean Roux marié à


Jeanne Martinon, de Brioude, dont il eut Géraud, épousa en 2e noces Amable Chaduc, d'une famille riomoise bien connue. Cette alliance le fixa à Riom. Il fut bailli pour le chapitre de Brioude, des justices de Brioude, la Chaise-Dieu et Pont-du Chateau.

Les conditions dans lesquelles Géraud Roux fait prisonnier par les troupes de Gaston d'Orléans et emprisonné d'abord à Beaucaire puis à Rémoulins, s'échappa de cette forteresse d'une façon vraiment miraculeuse, après avoir prié la Vierge d'Orcival, furent l'occasion de la fondation faite à cette église.

Il a lui-même raconté les détails de son évasion dans un petit opuscule, rarissime aujourd'hui, intitulé : « Les travaux surmontés. » Le pèlerinage qu'il fit avec toute sa famille au sanctuaire vénéré de nos montagnes est rapporté par l'auteur de : « L'histoire de N.-D. d'Orcival. »

Son aïeul, Jean Roux, procureur d'Auzon, était le cousin-germain d'Anthoine Roux, consul de Saint-Germain, en 1593, lui-même descendant direct de l'abbé Roux.


Cet Anthoine Roux, emprisonné à Issoire, pendant la Ligue, fut un des chefs du parti catholique dans le Lembron.

On le voit, l'abbé Roux avait de qui tenir et les sentiments religieux étaient de tradition dans sa famille.

Il a été raconté comment, grâce au dévouement de ses paroissiens qui lui avaient constitué une véritable garde d'honneur, l'abbé Roux put échapper aux fureurs des terroristes pendant la tourmente révolutionnaire.

Tantôt caché dans les bois, tantôt dissimulé chez de bons catholiques, il ne cessa pas un instant d'exercer son saint ministère.

Bien souvent il lut sur le point d'être arrêté, toujours la Providence le sauva de ses ennemis. Une fois entr'autres, il se trouva dans des circonstances particulièrement critiques. Parmi les maisons qui lui donnaient le plus fréquemment asile, se trouvait celle d'un de ses parents, François Roux, ancien

Notre ami, M. Paul le Blanc, qui nous, a déjà fait connaître le livret du curé Bjénézit, nous communique aussi un extrait d'un rôle de la confrérie pour l'année 1740, qu'il avait eu autrefois sous les yeux. Voici les noms des plus notables associés; ils pourront intéresser quelques fam.iU.es :

An^ré Sargette, curé de Bjerb^zit.

Antoinette Bardon, dame de Chassignolles.

Antoinette de Cluny de Lugeac. (1)

Balthasar de la Roque, dernier, seigneur d'Aubagnac, et sa femme, Jeanne de MiaUiet.

Claude Nicolas Ouradour, lieutenant d'Auzon, et sa femme, Elisabeth Béraud.

Charles Boyer de Lasalle.

Dominique Avond, curé, de Domeyrat.

François-Loup du Crozet de Gumignaq.

Gilbert Bertrand, bailly d'Azerat (2).

Guillaume Bertrand, curé de Coujat (3).

Jeanne Borias, femme dQ Jean, Ouradour, bailly d'Auzon. Julien Martinon, curé d'Auzon (4).

Ignace de Beaufort de Canillac, seigneur de Chassaignes. Jacques Grenier, curé de Vergonghon.

(1) Mère du lieutenant-général de Lugeac et de la dernière abbesse de Lavaudieu.

(2) Arrière-grand-père du docteur. BertfiatyJ de Saint-Germain, auteur de nombreuses publications.

(3) Arrière-grand-oncle du même.

(4) Savant prêtre, membre de l'académie de Cleripont à laquelle il (it des leçtures très-intéressantes.


Joseph Boyer, bourgeois d'Auzon.

Jean Vacher, curé de la Brousse.

Jean Aubergier, curé de Saint-Pierre de Bournoncle. Jean Autheyrat, prieur d'Aignat.

Jean Brustel, curé de Frugières.

Jean Virat, curé d'Azerat.

Joachim Vialon, curé de Javaugues.

Jean Allezard, chanoine d'Auzon.

Marie Bertrand, femme du sieur Baillard.

Marie de Bardon, veuve du sieur du Charriol. Pierre de Pons de Frugères, et sa femme.

Madame de la Freydière.

Marie Pellissier, femme de Gilbert Bertrand, bailly d'Azerat Mlle Reynaud du Grippel.

F. CORN Y.

Un grimoire fort intéressant est une ordonnance du bailli de la ville d'Auzon, près Brioude, datant du 7 novembre 1441, qui prouve, par le texte qui va suivre, qu'a cette époque le saumon pullulait dans l'Allier.

Cette ordonnance dit:

« Le saumon sera vendu à la halle : 4 sols la livre en été et 5 sols la livre en

hiver, et que la- huro dudit saulmon fût suspendue au crochet pour être donnée au seigneur d'Auzon. »

Une page d'histoire du village
La Maison du Bailli
Tag(s) : #Auzon, #patrimoine
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